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VIE

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23 septembre 2009

ALAK OKAN !

Alors ouais !! Mais ouais ! Grave !! Check it quoi !

 Donc oui, FORCEMENT, elle brise. Elle tape. Fort. Faut dire elle avait un troisième bras. Un foutu troisième bras qui lui sortait du dos. C'est absolument gerbant. En général j'aime pas trop les mutants mais alors là !

Comme si on avait besoin de ça après l'extinction massive des pingouins qui parlent Russe sans accent...

 Donc elle débarque, cash, normal, genre vas y j suis chez moi ici j'fais ce que j'veux j'me la joue gros dur. Elle lance son regard qui dépasse facile la vitesse d'une pipe au galop et pose son cul sur une tasse en gélatine pure. Et ça, c'est foutrement pas rien. Et elle nous débite quoi ? Une espèce de sermon totalement blindé à la taxe carbone pendant qu'on s'enfile des serpents phosphorescent par les narines. Genre elle se la joue à la matrix avec ses enceintes qui suintent. En mode elle sait pas qui on est. 

 Pour situer, on est un peu des fous. On est les mecs qui ont révolutionner la vie en chantant la tête en bas sur une poutre en allumette alors que les nuages gris klaxonnaient comme des dingues pour forcer la cigogne à sortir de son étui à cigares une foutue barbe à poils court. J'veux dire on déconne pas avec deux choses dans la vie et la première tout le monde sait ce que c'est. La seconde ça dépends des gens. Ceux qui ont des dents sur pivots vous diront autre chose que ceux qui distinguent mal le bleu roi du bleu me fais pas chier c est bleu basta.

 On en parle pas assez du bleu roi. Mais c'est un autre débat.

Donc elle se la joue, en tortillant des mèches de crins noirs qu'elle avait arraché à tornado avant de se les coller poils par poils comme l'a fait mike teves. Une dingue qui nous la joue virgule alors qu'elle est plutôt guillemet quoi. On aime pas trop trop les tricheurs. Donc elle déblatère en vomissant des haltères par terre. Et bla bla bla que j'te raconte un truc, que j'en promette un autre. Et tout ça alors que les verres à vins se gonflaient d'orge parcqu'on avait oublié de mettre pause sur l'orgue de Staline...

 C'est au moment ou elle a commencer à manger une poule en mousse que sa copine aux cheveux bariolés de fourmis a débarqué. La team qui glanent plein phare sur l'autoroute au complet. Les bêcheuses de mulet communiste. La vie, la vrai, aux cuvettes. Ca t'apporte quoi à toi d'être heureux ?

Bref, elles se tapent la bise et s'échange un lézard complètement camé aux graines de sésames et sentent le papier qui roulent sous une excavatrice du genre dont on se sert pour tailler un stylo. Et là ça envoi en stéréo. Mais merde quoi. Y'a un moment les filles faut arrêter de se prendre le chou et appeler un mec qui sait jouer pitcher pour pouvoir lacher des flottantes correct. Sinon c'est le LF qui va gueuler.

 Donc on arrive sur le terrain avec les crampons qui font des feux d'artifices et on les fracasse. Les deux, cash. 

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27 août 2009

Sans Titre

Il gisait là. Inerte, la tête dans le caniveau. L'eau qui coulait sous son visage se teintait de rose au contact de ses blessures. C'est jamais drôle de se faire éclater le crâne. Alors par une fille... Autant dire qu'il en avait pris un sacré coup. Non seulement dans la gueule mais aussi dans sa fierté. Va savoir lequel fait le plus mal.

Il avait repris connaissance depuis environ 20 minutes déjà. Mais il n'avait pas bougé. Y'a un moment, ou il faut savoir s'arrêter et réfléchir. Bon forcément, au réveil, cracher trois dents et pouvoir passer sa langue au travers de sa joue ça fais bizarre. Mais ça permet de comprendre l'utilité des talons aiguilles. Mais après ça, l'adrénaline prends le pas sur la douleur et ça permet de penser. Après lui avoir brisé les couilles, brisé le coeur, elle lui avait brisé la tête. La boucle était bouclé.

Faut dire il l'avait un peu cherché. A être insistant comme ça. D'autre diront "à être con" mais bon. Chacun son point de vue...

Il se dit que y'a un moment, il faut savoir jeter l'éponge. Es-ce que ce moment était arrivé ? C'est quand même idiot, la soirée avait bien commencer. Petit restaurant romantique, cinéma, et tiens je te raccompagne chez toi, si si j'insiste les rues ne sont pas sûres à notre époque etc etc

Ca avait pas loupé ! A 200 mètres du but, du "tu veux monter boire un verre?" probable, bam, agression. Le classique, mais version polie "Bonjour les tourtereaux, afin d'éviter toute effusion de sang inutile, je vous serais gré de me faire parvenir immédiatement vos téléphones cellulaire sinon mes amis et moi serons dans l'obligation d'exercer des pressions fortes à l'aide de ses barres d'un quelconque métal sur des parties de vos anatomies sélectionnées avec un hasard le plus total".

Evidemment Monsieur veut faire le malin et se la joue prince charmant, écarte la demoiselle et dit "jamais bande de connards de merde !". Et tout ça pour gagner une chance supplémentaire d'avoir accès au verre en tête à tête dans le nid douillet de la future dulcinée... Donc Monsieur s'avance, se prends un sublime aller retour main à plat gauche droite lifté dans la tête et encaisse le coup avec grâce en faisant trois tours sur lui même.

Et là surprise ! Le temps qu'il reprenne ses esprits et tente une riposte, les trois malfrats sont par terre et la douce et frêle jeune fille qui accompagnait notre quidam tentant de passer pour un héros a son pied droit, ou plutôt la semelle de sa Louboutin enfoncée dans le visage d'un des vils voleurs.

Avec les deux joues rouges vifs on a déjà l'air con, alors quand en plus, celle que vous preniez pour un oisillon sans défense a mis à terre 3 hommes vous avez l'air encore plus con. C'est ainsi qu'il dit dans un élan d'inspiration digne de Baudelaire un sublime "Whoooo" admiratif. Evidemment il fût surpris lorsque le visage d'ange encadré de longues mèches brunes qui bouclent se retourna vers lui avec un air qu'on qualifierait simplement de "reste pas là mec cours très vite réfugie toi chez ta mère sinon elle va te vaporiser en particules de douleurs".

Et re surprise lorsque la bouche située là ou elle doit être sur ce visage dit "Bon... Tant qu'a faire..." Et SURPRISE une nouvelle fois lorsque l'on découvre la souplesse d'une jambe féminine et qu'on observe le détail d'une semelle de chaussures excessivement chères arrivant à la vitesse du son en direction de son visage.

C'est alors qu'on se retrouve à terre avec la tête qui saigne. Et on entends "Espece d'enfoiré de merde à la con ! C'était ta dernière chance et j'ai passer une soirée totalement pourrie ! T'as pas arrêter de me faire chier et je veux plus jamais de voir gros connard ! Dis bonne nuit !!" On ne peut qu'apprécier la référence à American History X et se dire que si on était gaulé comme Edward Norton dans ce film et bah, elle parlerait pas comme ça ! Evidemment la référence ne s'arrête pas là et on se prends se magnifique coup sur l'arrière du crâne qui sonne bien comme il faut.

La chance c'est qu'on se réveil à un moment ou un autre. Le problème c'est qu'on se réveil dos aux malfrats encore KO et qu'on ne se rends pas compte que si on ne dégage pas rapidement, ils risquent de se venger.

19 août 2009

Les couleurs de Cael.

La valeur des couleurs n'avait plus de mystères pour Cael. Au bout d'une vie de recherches, d'études et d'observation il avait enfin réussi à définir avec précision toutes les teintes, toutes les infimes colorations et le résultat de chacun des mélanges. La quête d'une vie touchait à sa fin. Cael regardait l'immense mur de la cathédrale sur lequel était accroché son tableau des couleurs. Le monde pouvait enfin librement admirer sont travail. Pour son auteur, la vie avait depuis longtemps un autre sens. Lorsqu'il découvrit les premières nuances il se rendit rapidement compte que tout était lié, organiser et hiérarchiser. Le vert des forets était le seul qui puisse se marier à la perfection avec le bleu du ciel. Le rouge des coquelicots était le seul qui pouvait se marier avec le jaune des champs de blés. Tout était limpide pour Cael, logique. Il avait 70 ans lorsqu'il acheva enfin son travail. Il prit ses affaires, regarda une dernière fois son oeuvre et partit. Il marchait depuis déjà deux jours. Deux longues journées. Sensible à chaque variation de couleurs il savait quel bleu allait succéder à quel vert, quel rouge allait prendre la place de tel vert. Il marchait sans surprise. Sans s'étonner. Pour Cael, la beauté d'un paysage n'était plus frappant car il n'y voyait que logique mathématique. Au bout du troisième jour il s'assit face à la mer. Le soleil couchant terminant sa course et plongeait lentement dans l'étendue d'eau. Cael soupira. Il savait déjà quelles seraient les nuances de couleurs de cette nuit. Et celles du lendemain matin... Il s'allongea par terre et regarda les étoiles. Soudain, haut dans le ciel, il vit une immense traînée blanche. Ce qu'il prit d'abord pour de la fumée se déplaçait à une vitesse foudroyante. Il concentra son regard dessus et distingua que le panache blanc était enfait légèrement bleuté. Cael eut un choc. Il n'avait jamais vu cette nuance de couleurs. Il se rendit compte que tout son travail avait porté sur la terre, et qu'il n'avait jamais lever les yeux vers les étoiles. La comète disparu et laissa place à la voie lactée. Le vieil homme fut abasourdi. De nouvelles nuances éclatèrent dans sa rétine et se gravèrent instantanément dans son ésprit. Des valeurs de couleurs qui ne suivaient aucune logique, aucune hiérarchie connue. Cael se leva, ouvra son sac et entreprit de reproduire ses nuances, à l'oeil. Il aligna ses potions et ses fragments bruts de couleurs et fit ses mélanges. Il travailla toute la nuit. Au petit matin, il n'avait pas réussi à obtenir ce blanc bleuté qu'il avait vu et de désespoir il s'endormit. Plusieurs heures après, il ouvrit les yeux et compris. Ce qui lui manquait était simplement des fragments bruts de couleurs du ciel ! Il avait tout les fragments de la terre mais pas ceux du ciel ! C'était pourtant évident ! Cael se leva et retourna à la cathédrale. Il salua le prieur et rejoignit la plus haute tour de l'édifice. Il monta sur le toit et attendit la nuit. Lorsque le soleil se coucha il fût éblouie par les nouvelles nuances de couleurs. Elles étaient toutes différentes de ce qu'il avait vu la nuit précédente ! Il ne perdit pas de temps et souleva au dessus de sa tête ses instruments de récolte de fragments. Une étoile brillait et descendit jusqu'à lui. Cael l'attrapa dans une fiole et la rangea dans une des nombreuses poches de son manteau. Puis une aurore boréale apparut, et il put en attraper des filaments avec son épuisette. Soudain, il la vît. La traînée blanche était apparue de nouveau. Elle filait à 100 mètres devant lui. Et elle arrivait dans sa direction ! Cael se jucha sur la pointe des pieds et attendit les bras ouverts. Soudain, la traînée le percuta de plein fouet, Cael referma les bras et tomba à la renverse. Il dégringola en emportant une série de tuiles avec lui. Le choc avec le toit fût rude. L'homme aux couleurs perdit connaissance. Il revint à lui quelques minutes plus tard. Par miracle il n'avait rien. Il chercha des yeux la traînée blanche qu'il était certain d'avoir attraper et l'aperçu à ses pieds. Le magnifique blanc bleuté de ses souvenirs avait disparu. Il y avait à la place un vert bouteille tout à fait commun... Cael fouilla ses poches et vit que l'étoiles ne brillait plus dans sa fiole et que les filaments de l'aurore boréales étaient devenue ternes et jaune comme du papyrus...
18 août 2009

Jiminy Cricket sous crack

Il avait fait le tour de la question. Conscience c'était pas un boulot pour lui. Obliger d'être nickel, irreprochable, bien fringué, toujours avec un parapluie et des chaussures cirées. Mais bon quand la motivation n'est plus présente... Oui bien entendu, ça a véritablement fait chier ses parents, Jiminy Cricket Senior et Greta Cricket, quand il leur a dit qu'il lachait le taff de conscience "Jiminy ! On a pas payer 8 ans d'écoles privés pour que tu fasse un contrat et que tu lache l'affaire !!" lui dit son père "Mon fils ! Que vas-tu devenir ! On va pas pouvoir payer eternellement pour toi !" lui envoya sa mère. Sur quoi Jiminy répondit "écoutez, je vais me débrouiller, je vais partir à l'aventure un peu, je veux voir le monde !" Evidemment, quand on est jeune voir l'intérieur d'une baleine ça suffit pas ! En plus le père de Némo lui colle un procès vu qu'il a même pas checker si Némo était dans la baleine. Les toons n'ont aucuns savoir vivre. Et il faut bien avouer que ceux en 3D sont carrément racistes... Alors quand en face ils ont un toon en 2D et vert qui plus est.... Mais bon ! Le père de Némo a été puni, il travail actuellement au bagne, à ranger des fichiers systèmes de windows vista. Autant dire qu'il va passer un sérieux temps à l'ombre de l'écran bleu... Jiminy pour sa part a réussi à convaincre ses parents de le laisser vivre sa vie. Il a vendu son costume de fonction et se balade maintenant dans un ensemble de jogging violet. Il s'est fait un petit caprice et s'est payer une chaîne en strass avec. Evidemment, peu d'endroit font rêver les crickets de son âge. Il lui fallait de l'aventure alors il a pris un billet d'avion pour New York City. Le voyage s'est plutôt pas mal déroulé, à part la bouffe dégeulasse. Il en a été malade. Mais bon, il est vert à la base alors personne ne l'a cru... Après les 9 heures d'attente réglementaires à la douane il a enfin poser son pieds d'insecte dans la ville qui ne dort jamais. Il prit un taxi pour rejoindre Manhattan et comme tout les gens qui rejoignent Manhattan pour la première fois il a aussi pris un bon gros torticolis. Et le voilà, tout fier, à déambuler sur broadway, dans central park et à flaner devant les vitrines de Soho. La good life en gros. Après un bon gros repas chez Burger King, Jiminy se posa une question. "Ou vais je bien pouvoir dormir ce soir ?" Et ouais parcque la cigale c'est sa cousine, elle habite New York mais vu que cette conne a chanter tout l'été elle va pas pouvoir l'héberger ! Mais Jiminy est un peu un ouf dans sa tête alors il va la voir quand même. Il avait quand même un peu préparer son voyage, faut pas déconner, il était conscience avant alors il a des restes quand même. Ursula, sa cousine cigale donc, lui avait laisser une adresse, présitigieuse, "Brooklyn Bridge". Jiminy partit en quête de ce fameux "Brooklyn Bridge" en se demandant ou était ce club de Bridge de Brooklyn. Oui Jiminy est un peu con. Et il parle pas très bien Anglais. 48 angles droits et 4 heures plus tard Jiminy arriva devant ce Brooklyn Bridge. Il chercha un instant des yeux sa cousine lorsque soudain il l'entendit. Et oui, elle était entrain de chanter. Il faut savoir qu'Ursula chante exclusivement du Edith Piaf et qu'elle chante mal, bah oui y'en a plein qui chantent tout l'été dans des festivals à la con et ils se retrouvent pas à la rue après. Ou alors ce ne sont pas des chanteurs, mais des batteurs, des guitaristes etc en gros des intermittents du spéctacle. "Cousine Ursula !!" hurla Jiminy "Jiminy mon cousin !" répondit Ursula "Non cousine, je suis un cricket!" (cette blague de merde est sponsorisé par Carambar©) "Comment vas tu ?" demanda Ursula "Mais bien ! Que fais tu sous ce pont ?" questionna Jiminy "J'y habite !" révela Ursula. Et c'est ainsi que Jiminy posa ses bagages chez sa cousine Ursula. Pour féter son arrivé Ursula lui servit un plat typique des états unis, le fameux "boydel fay avek dy reystes", un plat typique. Jiminy trouva cela gerbant mais en même temps la cuisine locale, faut du temps pour s'y habituer. Lorsque notre petit cricket dit à sa cousine qu'il comptait rester vivre aux USA d'amérique elle se mit à trembler et à cracher un petit peu partout sous le pont. Jiminy pensa à une coutume locale et se joint à elle. Après tout, cousine Ursula avait des racines indiennes, et on sait jamais, c'était peut être la danse de la chance. Une fois que l'habitat était repeinds de glaires (oui je sais c'est immonde) Ursula s'éffondra dans son canapé et demanda à Jiminy de lui donner une boite en bois précieux d'écorce rare de cagettes. Dans cette boite en bois précieux d'écorce rare de cagettes se trouvait une petite pipe ainsi que des sortes de petits bouts blancs de matières inconnues aux yeux de Jiminy. Ursula lui dit que c'était du "crack" et que si il en voulait il aurait qu'a lui en acheter. Evidemment, Jiminy, jeune et mal renseigné voulait tester ! Il lui fit alors don de sa chaine en strass. Il tira une grosse bouffée sur la pipe et sentit immediatement une sensation d'euphorie et d'amélioration de ses performances, une sensation de chaleur et une bronchodilatation. Il se sentait tout-puissant, euphorique, hyperactif, il avait d'intenses poussées d'énergie et d'exaltation bien qu'il sentit des changements comportementaux ou psychologiques inadaptés, de la tachycardie ou bradycardie il n'était pas trop sur, une dilatation pupillaire, une augmentation ou diminution de la pression artérielle, mais il opta pour une augmentation. De la transpiration ou frissons, et il avait les deux, des nausées et vomissements, une agitation ou ralentissement psychomoteur, mais là c'était plutôt un ralentissement, une faiblesse musculaire, une dépression respiratoire ou arythmies cardiaques, mais sans l'arythmie cardiaque,une confusion, et des crises convulsives ou coma. Mais il ne fit pas le coma. En bref, il était pas au top. Sa cousine le regarda et explosa de rire. Mais au sens litteral. Résultat, il y'avait des bouts d'Ursula un peu partout. Jiminy, trop bronchodilatatiser pour piger quelque chose se leva, pris la boite en bois précieux d'écorce rare de cagettes entre deux ralentissement psychomoteur et partit du pont dans un vomissement convulsif. Il marcha. Longtemps. Sans but. Les yeux perdu dans le vide. Serrant sur son coeur la boite en bois précieux d'écorce rare de cagettes. Au bout de 4 heures il se sentait mieux et donc il allait pas bien. Il tira la pipe de la boite en bois précieux d'écorce rare de cagettes, l'alluma et tira une nouvelle bouffée. Mais tout de suite il passa de la sensation d'améloriation de ses performances à la case coma. Malheureusement il ne passa pas par la banque, il ne toucha pas 500 dollars et alla directement à la case hopital. Lorsque sa vision redevint nette, il vit un medecin aux cheveux noirs hurler sur un medecin anorexique. Le medecin anorexique semblait se défendre en disant "Non ! Je n'ai pas couché avec Burk ! Pour qui tu me prends? Je suis ton ami !!" A côté d'elle un homme avait le ventre ouvert et saignait abondamment, il avait apparement besoin de soins urgents, lorsque soudain un docteur entra dans la salle, un stétoscope sur les épaules. Il s'arreta, fit un sourire et repartit. Par un miracle inconnu toutes les femmes présentes se sentirent mieux. On vit s'écraser devant les fenêtres un homme avec une canne ornée de flammes puis tout devint calme. Quelques instants plus tard un visage de vieillard apparu devant Jiminy et dit "Vous avez une assurance ??" sur quoi Jiminy répondit "non, j'ai une conscience". Le visage lui hurla "Et moi j'ai deux pouces et je m'enfout !" et il partit en croquant dans un muffin. Jiminy tenta de se redresser et sentit deux mains le saisir par les épaules. Il survola la salle et atterit dans une voiture de police. Un homme entra et dit "pas de sécurité sociale, pas de soins, pas de soins, pas de malade, pas de malade, pas de liberté, pas de liberté, la prison". Jiminy trouva cette déduction curieuse. Tout se passa très vite. Il passa devant un juge, qui le condamna pour "detresse insolente" à 9 ans de travaux forcés. Il fut emmener à plusieurs kilomètres de New York, sur la route, il passa devant la statue de la liberté qui n'en avait visiblement rien à cirer de lui. Il fut enfermer. Dans la même celulle que le père de Nemo.
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